PleupleuNetworks
Je regarde des streams sur twitch depuis maintenant plusieurs années. Au début j'y suis parvenu au travers de compétitions esportives. J'en ai également entendu parler, et suivais un peu ce qu'il se passait, sans plus.
Je m'y connectais lors des Zevent, pour suivre les quelques que je connaissaient, déjà en 2018. Mais c'est surtout en 2020 que j'y ai vraiment plongé; le COVID et les confinements passant par là. C'est à ce moment là que j'ai commencé également à m'y impliquer. A discuter dans des chats. A être là régulièrement et à dire bonjour aux gens passant. A cette époque là je n'aurais pas cru que ça aurait pour conséquence de me faire rencontrer pas mal d'humains sympathiques. De pouvoir enfin aller à des événements sans se retrouver seul à chaque fois, et incapable d'y faire des rencontres, mettant une piece supplémentaire dans la fissure de la solitude dans la santé mentale.
Alors que je n'arrivais plus à travailler correctement pour mes études, et que c'était seulement après avoir passé la journée a me travailler mentalement et physiquement, que j'arrivais, à des heures matinales à me mettre au travail, pendant le calme, pendant que tout le monde était endormi, je suis devenu sur le stream d'Etoiles, le daron qui pousse les personnes repoussant leur sommeil à aller dormir.
Tout ça pour dire que je connais les codes du streaming. J'en ai vu des dizaines d'heures. Je sais également voir ce qui ne va pas, et je sais techniquement faire. Je savais déjà capturer du jeu il y a bien longtemps.
Autant dire qu'aussi bien techniquement que humainement, je ne débute pas avec le streaming dans ma vie.
Le projet PleupleuNetworks
Et c'est là qu'on arrive sur pleupleuNetworks. Pourquoi un tel nom? Et bien il y a là une double référence. La première du pleupleu, est une expression d'une cousine. Elle est dans la langue Française et désigne au départ un pivert, mais surtout c'est une manière familière de désigner quelqu'un de stupide, naïve, un tant soit peu bête. La seconde est celle de PinpinTélécoms, le nom amusant lié à des historiques de la boite dans laquelle je travaille. Un pinpin, c'est a peu près comme un pleupleu. Enfin, beaucoup de réseaux finissent par "Network" "Télécoms" "ix" et autres. Maintenant pleupleuNetworks, ça sonne bien, mais surtout, le tld .network existe. J'ai donc acquis les domaines pleupleu.network et pleupleunetworks.net
Pourquoi au pluriel? Bah oui, au singulier ça aurait tout aussi bien marché, mais je désigne là des réseaux. Pas un seul. En effet, l'objectif est de parler des réseaux pas de celui d'une entité simple. Quand on souhaite experimenter, on expérimente pas le réseau. On expérimente des réseaux. Ca me fais penser qu'il faut que je lâche des billes sur le sujet de choisir "l'internet" ou "les internets".
Bref. Je souhaitais apporter quelque chose que je connais (les réseaux informatiques) dans un univers que je connais (le streaming). Cependant, je ne suis pas un expert en vulgarisation. J'aime vulgariser, et souvent on trouve que je suis plutôt bon dans ce domaine. J'aime expliquer ce qui m'entoure, et le raconter. J'aime partager des anecdotes, quite a devoir travailler sur la limite de ce qui se raconte et de ce qui ne se raconte pas. Rassurez vous, je terrai vos nom.
Quelques lives et...plus rien
Et oui, probablement vous n'avez jamais entendu parler de pleupleunetworks, que ce soit de ma part directement, ou ailleurs. Ce n'est pas pour rien.
Segmenter ce que je fais
A ce moment là, j'ai préféré segmenter ce que je fais de tout le reste. En effet, je n'en ai parlé à personne quasiment. Les rares chanceux sont des personnes dont je n'ai pas peur du jugement, et pour lesquelles je me suis dit que peut-être que le contenu que je produirait les intéresserai. Quelques personnes l'ont découvert aussi.
Oui, car au fond je n'en ai pas parlé à mes amis que je connais, et que j'ai connu grace à Twitch. Pourquoi? Parce que je ne veux pas qu'ils se sentent obligés de me suivre dans un projet qui est le miens, de parler d'informatique sur Twitch à ce moment là. Je préfère qu'iels viennent si le contenu est intéressant. Je n'ai pas envie de me servir d'eux comme un tremplin à viewers me faisant passer au dessus des vues "normales" que je considère mériter d'avoir. Pourtant, les premiers lives j'ai eu des statistiques pas dégeu pour quelqu'un pas implémenté. Et oui, 95% des streamers font moins de 5 viewers. Mes lives commençaient déjà a une dizaine, et c'était très bien.
C'est comme ce blog. Je n'ai pas envie de le mettre en valeur dans toutes les sphères que je fréquente. Que ce soit des sphères militantes, notamment, mais aussi amicale, associative, professionnelle. Je n'en ai donc pas fait la promotion, déjà parce que je ne pense pas que ces gens soient la cible que j'espérais attirer par ces lives, mais aussi par conviction qu'un public sur twitch se crée progressivement. Je ne parle pas de notoriété quelconque ici. Je n'en ai évidemment pas la prétention ni tant la volonté. J'espérais créer une communauté dans laquelle je pourrais parler des réseaux, de ce qui me passionne, et en même temps profiter de ce temps pour me former à ces technologies.
Quelles cibles et quel contenu
Sur le contenu, j'ai eu envie de partager les sujets qui me passionnent, et en particuliers les réseaux comme dit précisément. Mais fondamentalement c'est là que plusieurs grains de sable sont venus entacher la mécanique encore peu huilée et rompue à l'exercice. C'est ce qui arrive quand on ne sais pas concilier des objectifs complètement opposés. Et oui, car deux objectifs majeurs sont entrés en opposition: Celui de progresser, moi, en me formant sur des techniques que je ne connais pas, et celui de parler aux personnes et de vulgariser des technologies. Je n'aime pas parler en n'étant pas certain de ce que je dis. Ca m'arrive, comme tout le monde j'imagine, sauf aux plus extravertis à la langue bien pendue qui osent assumer leurs propos publics. Ce n'est pas mon cas. J'ai du mal avec ce que je dis. De la même manière que j'ai du mal avec ce que j'écris. Être fier de ce qu'on fait et réussir à avoir une autocritique apportant une amélioration fondamentale est quelque chose de difficile pour moi car l'autocritique prends le dessus, et j'ai un biais naturel à ne considérer que le négatif.
Vulgariser et apprendre ensemble ne font pas bon ménage. C'est ce dont je me suis rendu compte. Je me suis mis alors à... préparer mon live. Et oui, un exercice où l’internet est justement de le faire avec peu de préparation contrairement à une video, en plus de la sur-réflexion autour des questions techniques, on y reviendra, vient la sur-réflexion sur le contenu qui va être produit. Comment je peux vulgariser cette notion, comment je peux approfondir celle là. Et je passait du temps à préparer des streams qui ne vinrent pas. Fus-ce du temps inutile? Je ne pense pas. D'un point de vue de ma culture technique, notamment dans mon domaine de spécialité, j'ai appris des choses. Cependant, je me suis retrouver à passer plusieurs heures à apprendre des choses pour être certain de ne pas me retrouver démuni lorsqu'il faudra parler de ces mêmes choses. L'acceptation du jugement sur mon travail, et sur ce que je sais était d'autant plus difficile.
C'est aussi pour ça que je n'en ai pas parlé. Parce que j'ai beau avoir des collègues formidables qui verbalisent le fait qu'ils sont content de mon travail, qu'ils trouvent que je vulgarise bien que ce soit a des initiés ou non des notions, et bien je me bat contre moi même qui craint d'être vu par un collègue qui trouve mon stream "pas ouf".
Acceptation du jugement
Hors, lancer un live, c'est subir un jugement. J'ai envie de le faire car les réseaux me passionnent et j'aime en parler à mon entourage. j'aime partager ce que je sais. J'apprécie apprendre. Les réseaux informatiques, comme d'autres sont la porte ouverte à des heures d'explications sur le fonctionnement. Et on en apprends tout les jours. C'est d'ailleurs ce qui parfois est le plus frustrant dans mon métier. Savoir assumer qu'on ne peut pas tout savoir, mais surtout se rendre compte que personne ne peut humainement le faire. Le fonctionnement de nos systèmes de tout les jours, que ce soit informatiques ou non, est d'une complexité folle, et c'est ce qui les rendent beaux.
Maintenant, il y a moi. Seul devant ma camera, a essayer d'expliquer le pourquoi du comment des réseaux, après des heures anxieuses à réfléchir au moindre détail du stream.
Les question de qualité sonore m'obsèdent, je m'équipe d'une webcam potable, faute d'un appareil photo de qualité. Les détails m'obsèdent, et c'est avant tout de la souffrance qu'ils apportent. Parce qu'au fond, ce n'est pas grave si ce n'est pas parfait. Ca, je le sais pertinemment. En plus je suis capable de m'adapter et de gérer des imprévus. Mais maintenant il faut lancer le live. Parfois j'hésite, je prépare un titre, et j'ai renoncé. A plusieurs reprises. A plusieurs reprises j'ai changé mon overlay, ms scenes, avant de me lancer. Changer le positionnement de la camera sur un écran. Hésité a ajouter un plugin. Tout ça pour au final ne pas se lancer et retomber dans une frustration certaine. Et cette mauvaise quête du perfectionnisme, qui n'est pas positive ne s'est pas arrêté là.
Animer dans le vide
Ce qui est difficile dans l'exercice du live, encore plus sans avoir une communauté active dans le chat, est justement de maintenir a flot un stream. On ne peut pas le maintenir sans rien, il s'agit d'animer. Hors, animer viens en plus s'accrocher aux difficultés de vulgariser. Il était également difficile de le faire, en ayant des viewers qui n’interagissaient pas. Et oui, si ça parait évident d'interagir sur un stream pour certain, la majorité est silencieuse. Me voilà face à ce qu'on vécu des profs durant le covid. Me retrouver avec des personnes présentes, qui me regardent, peut-être même que mon contenu leur plait, et pourtant qui ne parleront pas. De mon côté je ne sais pas si je suis clair, et ça me laisse dans une incertitude, dans une anxiété d'avoir mal-fait. Dans un doute certain a la fin du live. Comment ça s'est passé? A cette question le juge c'est moi, et il aura suffi d'un rien pour que je baisse les bras.
Se faire one-guy
L'expression du "one-guy" est liée a l'univers de twitch. Elle a pour contexte un stream avec plusieurs dizaine, centaine, voir milliers de personnes, et qu'une d'entre elle dit quelque chose qui déplaît au streameur. J'entends par là évidemment rien de répréhensible, sinon un ban est oublier la personne est une méthode bien plus efficace. Ici, juste une phrase, qu'une personne va dire et qui va toucher. Le streameur alors réagit a l'énoncé. Les autres viewers regardant, eux ne sont pas d'accord, et vont le signifier au streameur par "one-guy". Celà signifie: cette personne est seule a penser ce qu'elle dit. Dans le cas d'une critique ça devient de manière liée: "la personne est la seule à formuler cette critique, continue ce que tu fais".
Et bien moi, lors de mon troisième live, j'ai passé du temps à expliquer une notion essentielle en réseaux: l'encapsulation. Je n'ai clairement pas trouvé le live "bien". J'ai eu l'impression de ne vraiment pas avoir bien préparé ce que je voulais dire. J'ai eu l'impression d'être brouillon. Sur les schéma que j'ai essayé de faire je les ai mal fait a la souris, faute d'une tablette graphique dont je m'équiperai, pour rien, quelques jours après en conséquence. Je n'étais pas fier de mon live je l'ai trouvé bourbier et confus.
Je ne l'ai jamais re-regardé depuis. Je ne supporte pas ma propre voix, alors essayer d'avoir une critique juste de ma propre personne sur un enregistrement, n'essayons même pas. Je ne saurais pas le faire, pas me voir. Encore moins être juste vis à vis de moi même et de ce que j'ai produis ce jour là. Si ça s'était arrêté là, peut-être j'aurais continué.
Mais non, ce jour là, à la fin de mon stream, je me suis fais one-guy. Une personne qui a été l'une des rares a parler avant, même si c'était très peu, nue ou deux question de mon souvenir m'a indiqué gentiment qu'elle était pas fan du stream mais que c'est probablement elle qui n'était pas adaptée a ce format. Il n'en fallut pas plus pour exploser le peu de confiance en moi dans ce que je faisais. A la fin j'ai fini rincé. J'ai eu l'impression d'avoir eu une critique violente sur la qualité de mon travail. Critique dont je n'ai pu me détacher, car au fond, j'étais d'accord avec la personne. Pas fier de mon travail. J'aurais aimé beaucoup ne pas prendre en compte sa critique. Pouvoir m'en éloigner m'en détacher. Mais je me suis fais one-guy, et ce n'était pas mon manque de confiance en moi qui compenserai.
L'angoisse de la durée
Mais ce one-guy ne fût tristement pas tout. La durée de mes lives étaient une volonté absurde dont j'ai eu du mal à me détacher. La durée de la préparation aussi. Se dire qu'on a préparer de quoi faire une heure de live après plusieurs heures de travail à être certain de comprendre ce dont on va parler; a définir ce qui sera montré ou non, des implications, notamment de sécurité. Plein de détails comme ça accompagné du je veux vulgariser et je veux découvrir. Je ne voulais pas faire un live court. Je voulais avoir des choses a dire, en tout cas ne pas dépasser 2 heures en direct était difficile dans ma tête. Comme si les lives de 30 minutes étaient une anomalie ne devant pas exister. J'ai tord, bien sur, mais dans mon ressenti un live aussi court est mal vécu. En même temps tout les streameurs le diront, on apprends a streamer plusieurs heures. On est potentiellement épuisé en fin de live. Mais on ne débute pas la course a pieds par un maraton, on ne commence pas un live pas un subathon.
L'angoisse de l'attente et de a durée avant de cliquer sur le bouton était également soutenue. Déjà avant ce one-guy, j'ai a plusieurs reprise frôlé de lancer un live, mais je ne l'ai pas fait. J'ai patienté une heure, retravaillé mon sujet, remis en tête ce que je voulais aborder et le comment. Et ce, sans jamais m'y mettre vraiment. Tant d’énergie mentale dépensée a stresser de lives qui n'ont jamais vu le jour...
Quand je parvenais enfin à lancer, si j'y parvenais alors venais le waiting screen. Le point de non-retour du live lancé. Le live arrive. Le temps défile. Pour les non-initiés au début d'un live il est nécessaire de mettre en place un écran d'attente qui va permettre d'attendre un peu que des personnes soient sur le live avant de commencer a rentrer dans le dur du sujet. Cependant voila, l'attente est en elle même un moment horrible. Vous savez le trac avant de monter sur scène, et bien là c'est là même. Le trac avant de débloquer son micro, et de montrer sa tête. Sourire, animer, maintenir l’intérêt, faire attention a la technique, vulgariser, imploser.
J'avais peur également a la fois que ça ne dure pas assez longtemps mais aussi que ça dure trop longtemps pour moi. "Tiens j'ai quatre heures devant moi" puis, une fois devant le bouton lancer le live: "oui mais si j'ai mes amis qui me contactent pour jouer?". Rester planter là et renoncer. Voilà les tristes résultats.
Et maintenant ?
On remet une pièce et on repart?
Remettre une piece dans la machine. C'est l'effet que j'ai eu en sortant de mon live du one-guy. J'ai eu une phase de déstabilisation a posteriori. Pas heureux de ce que j'ai produit. J'étais donc pas assez. Pas assez préparé, pas assez équipé. J'ai retravaillé sur des préparations, j'ai retravaillé des scène et des enchaînements. J'ai acheté littéralement une tablette graphique. Je l'ai paramétrée et adaptée à ce que je voulais faire et réessayé des applications de tableau blancs virtuels. Pendant un temps j'ai remis des pieces dans la machine. Par quel sujet je vais attaquer à présent. Quel sujet choisir, maintenant qu'on a vu que vulgariser l'encapsulation a des débutant ça n'a pas été comme je voulais. J'ai voulu alors essayer de rattacher les live a un sujet sur lequel je bossais professionnellement, rsyslog. Puis je me suis dit que quand même ça ferrais pas non plus un bon live. Donc je me suis intéressé a la synchronisation des horloges, et au protocole NTP. J'ai voulu en parler avant d'également renoncer. Parfois je m’apprêtais a trouver le courage, mais je renonçais. Alors je me suis dit qu'expliquer comment twitch fonctionne, le RTMP pour la diffusion video, historiquement l'IRC pour les chats, expliquer pourquoi la vue, et notamment l’ordonnancement des messages du chat est locale, et différente à chaque personne. Comment des serveurs peuvent transcoder en des qualités inférieures pour des débits plus faible. Un sujet très intéressant, très divers, et que j'avais exploré. Quelles sont les alternatives a twitch, comment utiliser un serveur pour streamer sur plusieurs plateformes, autant d’interrogations que j'ai pu avoir envie de montrer, mais une chose certaine, je n'avais plus la force d'appuyer sur "lancer".
Tu abandonnes?
J'en sais rien. J'ai du mal a l'idée d'abandoner ce projet. De le lâcher définitivement. Je vois tellement de développeurs, sur twitch, montrer leurs développements en cours, je vois Yorzan, parler un peu de Linux et de problématiques systèmes, je vois des gens faire de l’électronique, créer des circuits imprimés... Mais si peu parlent réseau, et si peu ont ces compétences "approfondies". En attendant j'ai lâché l'affaire. Ma santé mentale a bien assez de combats pour m'ajouter ça. Je n'ai toujours pas résolu le dilemme (si c'en est un...) de vulgariser ou de découvrir et approfondir mes connaissances. Cependant, pendant ce temps je me suis à nouveau rendu compte d'une chose: Les articles Wikipedia parlant des sujets que je voulais traiter, bon nombre d'entre eux n'était pas très bon. Peu de gens faisant vraiment du réseau au quotidien écrivent sur cette encyclopédie. J'ai croisé beau nombre de concepts qui étaient mélangés, mal compris, ou de généralités de cas particuliers (la plus courante étant de considérer uniquement IPv4 et Ethernet). Ces derniers mois j'ai eu envie de reprendre le partage de connaissance. De parler de ces choses. J'ai voulu me faire un blog, voilà qui est fait. J'ai repris plusieurs articles Wikipédia. A chaque fois j'ai des choses a redire dessus alors que mon métier est tellement vaste qu'il est obligatoire d'apprendre, et donc souvent de lire des pages Wikipédia, ou même directement les normes.
Je me sens également moins exposé à l'écrit. Ca ne réponds pas du tout aux mêmes choses, je le conçois. Mais au moins pour le moment, c'est la forme de travail avec laquelle je me sens, avec un certain regret, des plus en phase. Non je n’abandonne pas totalement. Je garderai les noms de domaine pleupleu.network et pleupleunetworks.net. Un jour peut-être changeront il de cadre. Je vais m'en servir pour adresser mes machines, mes réseaux, mes experiences. Ca me rends triste de constater que je n'arrive pas a ne pas me mettre autant la pression pour un live. J'aime ce format, la liberté de ton, l'interactivité. Mais aujourd'hui force est de constater que je n'ai pas encore ce qu'il faut pour être serein devant la caméra. En attendant je vais écrire je pense. Et un jour, peut-être, je relancerai un live, qui sait.